C’est l’amertume

C’est l’amertume

C’est l’amertume C’est l’amertume, envahissant le jourQuand fuit l’amour qui reste sur sa finUn air subtil, un dangereux parfumUn cœur blessé sans carte de séjour.Hier encore ils chantaient : pour toujours Mais dans l’amer se noient...