C’était des rues et des maisons tranquilles

Mais je vois sur les images qui défillent

Se rependre une ombre à l’odeur de sang

Se rependre une ombre au relent d’antan

Qu’elles s’appellent Lysa, Tania ou Sofia

Le cœur battant, leurs enfants dans les bras

Elles fuient, espérant trouver un asile

Elles fuient loin de cette guerre inutile

Qu’ils s’appellent Youri, Alex ou Sasha

Le cœur battant, une arme dans les bras

Ils sont restés là, la gorge serrée

Pour délivrer leur pays ravagé

C’était des rues et des maisons tranquilles

Mais je vois sur les images qui défillent

Un peuple courageux, prêt au combat

Une peuple fier que rien n’arrêtera.

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