500 212…500 213…
Certains soirs de pleine lune
Quand la terre recule.
Sur les montagnes de fleurs de sel
A cet instant précis,
De l’étale de pleine mer .
Sous le regard amusé des grues
Les poissons bulles et les étourneaux
Dévalent les sommets, en roule et en boule,
en gerbe d’écume, en bulles et en rires .
En ces marais de Vendée.
Certains soirs de pleine lune.
en gerbe d’écume, en bulles et en rires .
En ces marais de Vendée.
Certains soirs de pleine lune.
Mais, si, je vous l’assure
C’est la compteuse de seconde,
Qui me l’a dit.
500 212 ..500 213…
féérique ! bucolique ! j’aime
Merci, Mélanie pour votre ” féérique “
Oh que voilà un très joli poème qui parle aussi à ma dualité d’origine…
Bretonne et Vendéenne, alors.
Merci
Gagné!
Toujours aussi beau, je vous envie aussi !
Merci Philomène, mais, il me faut rétablir la réalité de ce poème, dans un premier temps, c’est l’angle qu’avait pris Mélanie sur son poème à l’insignifiance remarquable ” lune et l’autre ” qui m’avait inspiré ” les poissons bulles et les étourneaux ” et pour ” 500 212… 500 213… ” c’est un texte de Sophie ” @ soph ” sur la Vendée, car elle y parle de ” la compteuse de seconde” et enfin, l’autre regard c’est elle . Merci Mélanie pour votre Poème. Merci , Sophie pour vos mots, du Soenfait@soph .
Mais ces dames sont de vraies sources d’inspiration , vous aussi ;
Petite question : demain j’ai une rencontre avec des enfants dans le cadre du printemps des génération, puis-je emprunter votre texte pour le lire ?
Merci
Bravo ! Un très beau-vrai poème qui ne se prend pas au sérieux. Si vous saviez comme je vous envie, Philippe… Ces racines, cet attachement à quelque chose de tangible…
Merci, Guillaume, mais la poésie n’est-elle pas, avant tout, portée par l’autre ?
J’ai envie de dire qu’on la porte en soi pour ensuite la partager et trouver un-e messager qui la portera à son tour.
un cercle, Sophie, un cercle , je vous dis.