Après une averse printanière, la forêt respire de bonté. Les bourgeons craquants expriment leur jeune âge mêlant leur couleur tendre à l’éclat du reflet de l’eau fraichement tombée.
Le sol exhale ce parfum pesant de terre lourde, qui nous promet la vie d’un éco système en pleine activité.
Le chant des mésanges à peine sorties du nid, le saut des écureuils joueurs et indiscrets, les flaques accueillantes pour le bain des oiseaux , les sorties en famille de quelques escargots et les rayons du soleil encore timide et frais…
L’instant est évident.
Pas de mode d’emploi, juste un mode de vie.
Tu sors. Tu respires, tu touches, tu admires, tu écoutes… tu apprécies …
La Nature est immense dans ce qu’elle a de plus petit, et ce rai de lumière sur la goutte de pluie remet en perspective les microcosmes que sont nos vies.
Merci pour cette irruption si poétique du printemps où vous convoquez tous nos sens.
Un avant goût de la renaissance qui éveille tous les sens
Oui, @Ma Pie! Oh combien je partage ces sensations!
En cette belle journée il y avait quelque chose du printemps, à admirer comme dans votre texte
” La Nature est immense dans ce qu’elle a de plus petit ”
Merci, de nous avoir fait partager, la subtile écoute que vous en avez.