A Toi mon ami qui est parti

 Efface mes péchés sous ton soue candide,

je t’ai abandonné, tu ne m’as pas pardonné.

Je comprends ta colère,

je la ressens.

 Dans la profondeur de mes nuits,

D’Où je t’entends gémir, comme une voix qui pleure,

Pardonnes moi ô mon ami

cette imprudence, cette malveillance.

Si tu m’avais seulement permis 

d’expier mes péchés, de m’expliquer

peut être m’aurais tu pardonné?

Seulement maintenant que tu nous as quitté

Fais moi l’offrande de m’accorder

De ta retraite dans l’au delà 

Le pardon tant espéré.

Mon ami tu verras

qu’il est proche, alors, ô mon bonheur.

 

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