Quel texte (poème, micro-nouvelle, haïku, etc.) vous inspire cette image (créée par une IA)? Publiez votre texte en commentaire (principal) de l’image. Ne lisez les textes déjà publiés qu’après avoir écrit le vôtre. Surprises… Vous pouvez, bien sûr, également commenter les textes des autres…
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Dans un paysage d’un autre monde, où l’herbe est grasse, où chacune a ce qu’elle veut, ce qui lui convient sans contrainte de rendement de mise bas à répétition, elles nous attendent. Sans doute s auront-elles quelques reproches à nous faire, quelques coups de cornes que nous n’aurons pas volé. Elles étaient belles pourtant, avaient de beaux yeux, c’est beau les yeux d’une vache !
Augeronne, Berrichone, Pie rouge de Carhaix, Cauchoise, Cotentine, Mancelle, Morbihannaise, Percheronne, Sarlabot, Solognote, Bressanne, Comtoise, Mézine, Tourache, Fémeline, Albanaise, Gessienne, Morvandelle, Tachetée rouge de l’est , Agenaise, Blonde des Pyrénées, Blonde du Quercy, Créon, Garonnaise, Marchoise, Montalbanaise , Picarde, Boulonnaise, Maroillaise, Ardennaise, Meusienne, Lorraine, Flamande , Marmandaise , Entre-deux-mers, Urt, Lourdaise, Périgourdine, Ossou, Castillon, Baretous, Betizu, Nivernaise, Tourache, Rouge Flamande, Berguenande, Bailleuloise, Bleue de Bazauges, Mézine, … et bien d’autres
Toutes ont disparu ou sont en voie d’extinction, ne restent d’elles parfois que quelques pailettes de sperme dans une éprouvette , dans un conservatoire qui les a oubliées.
Patrimoine vivant, elles étaient adaptées à leurs régions, leurs coins de terre , mais pas assez rentables pas assez polyvalentes. Après les vaches, les moutons, les chèvres, les cochons, les poules, les canards……l’homme ?
J’y reviens, je relis, j’adore !
Chère @Philomène écrit, laissez-moi vous expliquer mon enthousiasme : d’abord je lis en diagonale, et là, bien sûr je vois l’énumération… Je fais (presqu’instinctivement) CTRL+F, pour trouver “la Montbéliarde” dans l’énumération (n’oubliez pas que je suis Franc-Comtois d’origine, même si…).
Hélas, pas de Montbéliarde !
Quoi ! Quelle horreur, un texte qui parle des vaches sans parler de Montbéliarde ! Enfin, quand même, on les exporte dans le monde entier, nos Montbéliardes ! Même en Argentine, même en Algérie ! Et j’ai quand même aussi vécu moi-même à La Chevillotte pendant cinq ans ! J’en sais quelque chose…
Après, je me suis un peu questionné. C’est @Philomène écrit me suis-je dit, elle n’écrit pas n’importe quoi…
Je décide alors de vous lire vraiment.
Quel ne fût pas mon étonnement ! Evidemment qu’elle ne pouvait y être, ma pauvre Montbéliarde. En ne citant pas le Diable (malgré lui), vous l’innocentiez déjà.
Et votre bouquet final : “Après les vaches… l’homme ?”, me rappelle au final que je ne vaux pas plus qu’une vache. Merci !
PS: J’ai créé cette image il y a déjà trois semaines (avec l’IA, vous l’aurez compris). Je la regarde longuement chaque matin. Elle m’émeuhh… mais ne m’inspire rien. Peut-être est-elle trop “féminine” pour moi…?
Mais mon cher Algo, la Montbéliarde elle existe toujours ! Les vaches citées n’existent pratiquement plus , même plus du tout pour certaines! je n’ai plus en tête le pourcentage de races qui vont encore disparaître mais je crois que c’est autour des 15 % , et c’est dramatique, surtout lorsque l’on voit certains de nos écolos hurler pour un lézard , une panthère ou autre chose tout aussi dramatique !! ils laissent sans sourciller disparaître des races endémiques, qui appartenaient au patrimoine vivant , la même chose pour les poules, saviez-vous que certaines pondent des oeufs de couleurs ; vert pâle, brun presque chocolat, bleu, mais pour la vente ce n’est pas top !!! Et la plus grande partie de notre paysannerie a suivi !! C’est la même chose pour les fruits et les légumes, qui sont parfois bio mais qui sont des variétés créées pour les super marché !! Allez trouver une vraie tomate coeur de boeuf ! une vraie noire de Crimée ! Mosantos a déposé il y a quelques années toutes les variétés de maïs existantes ! et oui le patrimoine ” alimentaire” ancien n’est pas protégé !
Quand à l’image elle me fait penser à Kandinski ! Ses chevaux bleus
Vous m’aurez mal lu, je vous avais bien comprise, je crois. C’est juste qu’il me faut toujours faire un chemin de croix pour essayer d’expliquer les choses les plus simples… Du coup, tout le monde s’y fourvoie !
Si je dois recréer la pie-rouge de Carhaix à moi toute seule, c’est mission impossible et du reste, je n’ai appris son existence et son extinction que ce soir grâce à @Philomène écrit
Bavardages de vaches dans l’étable de monsieur Robert
– Qu’est-ce qui t’arrive Ciboulette? ce n’est pas l’heure de dormir, la tête dans la luzerne
– Je suis épuisée. Je rentre du salon de l’agriculture où j’ai attrapé un virus. J’ai la truffe en feu et mal au crâne malgré la poche de glace que m’a mise Robert.
– raconte !
– le premier jour, on nous a bichonné. J’ai fait des tas de connaissances. Imaginez ! Une ferme comme la nôtre mais XXL, le luxe, l’abondance, nos fermiers en habits du dimanche, aux petits soins, des lumières partout, comme dans un film. A propos de film, tu as des nouvelles de ton casting Dulcinée ?
– regarde-là, elle boude au fond de l’étable. C’est encore Marguerite qui l’a emporté. Elle a pris la grosse tête celle-là, on la voit sur toutes les affiches, avec un prisonnier, cette fois. Pourtant, Robert lui avait fait un look d’enfer à notre Dulcinée, blush sur les pommettes, triple tresse au bout de la queue et coiffure afro en loques hérissées. Mais pour nous, les vaches, la séduction ne marche pas dans ce monde cruel du vedettariat. Continue, toi
– Hélas ! Seul le premier jour fut un rêve. La suite ne fut que bousculade et brouhaha. Les gamins nous dévisageait comme des bêtes de foire en nous montrant du doigt. Rober devait me traire… en public. Plus aucune intimité ! Je pensais à vous, insouciantes et heureuses, en haut de notre pré, à l’ombre des châtaigniers. J’avais les nerfs en boule. Le museau me démangeait. Robert me passa de la crème et je vis son inquiétude. J’entendis “herpès géant” et “c’est fichu”. Je fus immédiatement déclassée, sans autre commentaire. Mais je suis tellement contente de vous retrouver !
Caroline, la meneuse du groupe, qui n’avait encore rien dit prend la parole :
– Écoutez-moi les filles, je vais vous redonner le moral. Les végétariens sont en train de gagner. Un projet de loi vise à interdire la consommation de viande. A nous la belle vie ! On en reparlera après une bonne nuit de sommeil.
Doux meuglements dans la bonne odeur familière de fumier et de foin, la paix retrouvée, loin de de toute agitation… lente routine des jours heureux…
Nous sommes cinq, cinq vaches vivant paisiblement dans la ferme de Monsieur Robert, le plus merveilleux des fermiers. Mais nous pensons à toutes celles qui n’ont pas la chance de connaître les mêmes conditions. Nous avons décidé de réagir à quelques moqueries dont certaines sont victimes.
Nous avons choisi AlgoMuse, site qui prône le respect et la tolérance, pour diffuser ce jour notre photo de groupe et notre cri du cœur.
Il est temps que ce fabricant de fromages fondus cesse d’apposer sur ses boites rondes la photo d’une de nos sœurs, ridiculement affublée de deux énormes boucles d’oreilles, riant béatement comme une demeurée.
Messieurs les fromagers, vous voulez faire croire à tous les enfants du monde qu’une vache rit en permanence ; vous lui avez même interdit d’être sérieuse. De quel droit ?
Demandez à Monsieur Robert, il sait, lui, que nous avons nos états d’âmes, parfois nos sautes d’humeur qui nous font donner un grand coup de sabot dans le seau qui valdingue et répand le lait mousseux dans l’étable. Monsieur Robert râle et nous restons penaudes. Mais vite, il nous pardonne. Il vient parfois simplement nous rendre visite, pour se détendre. Il nous parle des ses tracas. Ces instants nous sont précieux,
Non ! Messieurs ! Nous ne voulons plus être traitées comme des vaches-objets assurant la rentabilité de vos entreprises !
Nous remercions Algomuse de nous permettre de lancer notre mouvement de contestation qui rendra dignité à toutes nos sœurs.
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![Le Yoyo du Doute – Calligramme [ @algo ]](https://algomuse.fr/wp-content/uploads/2021/05/yo-yo-2182839_640-34b4a91e-300x199.jpg)
![Le chat en pyjama rayé [ @algo ]](https://algomuse.fr/wp-content/uploads/2021/04/cat-1045782_640-90f7201f-300x205.jpg)
OH ! LES VACHES
Dans un paysage d’un autre monde, où l’herbe est grasse, où chacune a ce qu’elle veut, ce qui lui convient sans contrainte de rendement de mise bas à répétition, elles nous attendent. Sans doute s auront-elles quelques reproches à nous faire, quelques coups de cornes que nous n’aurons pas volé. Elles étaient belles pourtant, avaient de beaux yeux, c’est beau les yeux d’une vache !
Augeronne, Berrichone, Pie rouge de Carhaix, Cauchoise, Cotentine, Mancelle, Morbihannaise, Percheronne, Sarlabot, Solognote, Bressanne, Comtoise, Mézine, Tourache, Fémeline, Albanaise, Gessienne, Morvandelle, Tachetée rouge de l’est , Agenaise, Blonde des Pyrénées, Blonde du Quercy, Créon, Garonnaise, Marchoise, Montalbanaise , Picarde, Boulonnaise, Maroillaise, Ardennaise, Meusienne, Lorraine, Flamande , Marmandaise , Entre-deux-mers, Urt, Lourdaise, Périgourdine, Ossou, Castillon, Baretous, Betizu, Nivernaise, Tourache, Rouge Flamande, Berguenande, Bailleuloise, Bleue de Bazauges, Mézine, … et bien d’autres
Toutes ont disparu ou sont en voie d’extinction, ne restent d’elles parfois que quelques pailettes de sperme dans une éprouvette , dans un conservatoire qui les a oubliées.
Patrimoine vivant, elles étaient adaptées à leurs régions, leurs coins de terre , mais pas assez rentables pas assez polyvalentes. Après les vaches, les moutons, les chèvres, les cochons, les poules, les canards……l’homme ?
Whaoo ! Génial ! Bravo !
J’y reviens, je relis, j’adore !
Chère @Philomène écrit, laissez-moi vous expliquer mon enthousiasme : d’abord je lis en diagonale, et là, bien sûr je vois l’énumération… Je fais (presqu’instinctivement) CTRL+F, pour trouver “la Montbéliarde” dans l’énumération (n’oubliez pas que je suis Franc-Comtois d’origine, même si…).
Hélas, pas de Montbéliarde !
Quoi ! Quelle horreur, un texte qui parle des vaches sans parler de Montbéliarde ! Enfin, quand même, on les exporte dans le monde entier, nos Montbéliardes ! Même en Argentine, même en Algérie ! Et j’ai quand même aussi vécu moi-même à La Chevillotte pendant cinq ans ! J’en sais quelque chose…
Après, je me suis un peu questionné. C’est @Philomène écrit me suis-je dit, elle n’écrit pas n’importe quoi…
Je décide alors de vous lire vraiment.
Quel ne fût pas mon étonnement ! Evidemment qu’elle ne pouvait y être, ma pauvre Montbéliarde. En ne citant pas le Diable (malgré lui), vous l’innocentiez déjà.
Et votre bouquet final : “Après les vaches… l’homme ?”, me rappelle au final que je ne vaux pas plus qu’une vache. Merci !
PS: J’ai créé cette image il y a déjà trois semaines (avec l’IA, vous l’aurez compris). Je la regarde longuement chaque matin. Elle m’émeuhh… mais ne m’inspire rien. Peut-être est-elle trop “féminine” pour moi…?
Mais mon cher Algo, la Montbéliarde elle existe toujours ! Les vaches citées n’existent pratiquement plus , même plus du tout pour certaines! je n’ai plus en tête le pourcentage de races qui vont encore disparaître mais je crois que c’est autour des 15 % , et c’est dramatique, surtout lorsque l’on voit certains de nos écolos hurler pour un lézard , une panthère ou autre chose tout aussi dramatique !! ils laissent sans sourciller disparaître des races endémiques, qui appartenaient au patrimoine vivant , la même chose pour les poules, saviez-vous que certaines pondent des oeufs de couleurs ; vert pâle, brun presque chocolat, bleu, mais pour la vente ce n’est pas top !!! Et la plus grande partie de notre paysannerie a suivi !! C’est la même chose pour les fruits et les légumes, qui sont parfois bio mais qui sont des variétés créées pour les super marché !! Allez trouver une vraie tomate coeur de boeuf ! une vraie noire de Crimée ! Mosantos a déposé il y a quelques années toutes les variétés de maïs existantes ! et oui le patrimoine ” alimentaire” ancien n’est pas protégé !
Quand à l’image elle me fait penser à Kandinski ! Ses chevaux bleus
Vous m’aurez mal lu, je vous avais bien comprise, je crois. C’est juste qu’il me faut toujours faire un chemin de croix pour essayer d’expliquer les choses les plus simples… Du coup, tout le monde s’y fourvoie !
Non mais dans toutes ces races,…si nous avions autant de races d’hommes que de races de vaches croyez-vous que l’on fonderait un conservatoire ??
C’est une très bonne question, qui montre aussi combien les mots sont insuffisants pour s’entendre.
Je vais réfléchir un peu…
(sourire)
Si je dois recréer la pie-rouge de Carhaix à moi toute seule, c’est mission impossible et du reste, je n’ai appris son existence et son extinction que ce soir grâce à @Philomène écrit
“Gant ar vezh” (avec la honte, quoi…).
Il n’y a pas de honte à avoir, il y a wiki pour tout !!!! même les vaches !
Enfin vous avez de ‘a chance vous avez l’écomusée de la bintinais pour les bestioles, et kaol kohz pour les graines, ils sont armés les bretons 😀😀
Génial, et un gros merci pour la pie-rouge de Carhaix! 😉
Bavardages de vaches dans l’étable de monsieur Robert
– Qu’est-ce qui t’arrive Ciboulette? ce n’est pas l’heure de dormir, la tête dans la luzerne
– Je suis épuisée. Je rentre du salon de l’agriculture où j’ai attrapé un virus. J’ai la truffe en feu et mal au crâne malgré la poche de glace que m’a mise Robert.
– raconte !
– le premier jour, on nous a bichonné. J’ai fait des tas de connaissances. Imaginez ! Une ferme comme la nôtre mais XXL, le luxe, l’abondance, nos fermiers en habits du dimanche, aux petits soins, des lumières partout, comme dans un film. A propos de film, tu as des nouvelles de ton casting Dulcinée ?
– regarde-là, elle boude au fond de l’étable. C’est encore Marguerite qui l’a emporté. Elle a pris la grosse tête celle-là, on la voit sur toutes les affiches, avec un prisonnier, cette fois. Pourtant, Robert lui avait fait un look d’enfer à notre Dulcinée, blush sur les pommettes, triple tresse au bout de la queue et coiffure afro en loques hérissées. Mais pour nous, les vaches, la séduction ne marche pas dans ce monde cruel du vedettariat. Continue, toi
– Hélas ! Seul le premier jour fut un rêve. La suite ne fut que bousculade et brouhaha. Les gamins nous dévisageait comme des bêtes de foire en nous montrant du doigt. Rober devait me traire… en public. Plus aucune intimité ! Je pensais à vous, insouciantes et heureuses, en haut de notre pré, à l’ombre des châtaigniers. J’avais les nerfs en boule. Le museau me démangeait. Robert me passa de la crème et je vis son inquiétude. J’entendis “herpès géant” et “c’est fichu”. Je fus immédiatement déclassée, sans autre commentaire. Mais je suis tellement contente de vous retrouver !
Caroline, la meneuse du groupe, qui n’avait encore rien dit prend la parole :
– Écoutez-moi les filles, je vais vous redonner le moral. Les végétariens sont en train de gagner. Un projet de loi vise à interdire la consommation de viande. A nous la belle vie ! On en reparlera après une bonne nuit de sommeil.
Doux meuglements dans la bonne odeur familière de fumier et de foin, la paix retrouvée, loin de de toute agitation… lente routine des jours heureux…
Sublime. Si doux, si gentil… si humain ? Si vachain ?
J’adore.
Il est tard, je vais me coucher, et faire de beaux rêves…
Merci Mélanie !
Allez, @melanie chaine, un bon steak demain? (Je blague, bien sûr! )
Beau texte, par contre je ne suis pas certaine que nos vaches est la belle vie avec les végétariens !!!
Cri du cœur de vaches
Nous sommes cinq, cinq vaches vivant paisiblement dans la ferme de Monsieur Robert, le plus merveilleux des fermiers. Mais nous pensons à toutes celles qui n’ont pas la chance de connaître les mêmes conditions. Nous avons décidé de réagir à quelques moqueries dont certaines sont victimes.
Nous avons choisi AlgoMuse, site qui prône le respect et la tolérance, pour diffuser ce jour notre photo de groupe et notre cri du cœur.
Il est temps que ce fabricant de fromages fondus cesse d’apposer sur ses boites rondes la photo d’une de nos sœurs, ridiculement affublée de deux énormes boucles d’oreilles, riant béatement comme une demeurée.
Messieurs les fromagers, vous voulez faire croire à tous les enfants du monde qu’une vache rit en permanence ; vous lui avez même interdit d’être sérieuse. De quel droit ?
Demandez à Monsieur Robert, il sait, lui, que nous avons nos états d’âmes, parfois nos sautes d’humeur qui nous font donner un grand coup de sabot dans le seau qui valdingue et répand le lait mousseux dans l’étable. Monsieur Robert râle et nous restons penaudes. Mais vite, il nous pardonne. Il vient parfois simplement nous rendre visite, pour se détendre. Il nous parle des ses tracas. Ces instants nous sont précieux,
Non ! Messieurs ! Nous ne voulons plus être traitées comme des vaches-objets assurant la rentabilité de vos entreprises !
Nous remercions Algomuse de nous permettre de lancer notre mouvement de contestation qui rendra dignité à toutes nos sœurs.
Finalement les algomusien -nes sont vachement bien 🐂🐂🐃🐄