L’étoile dans l’azur, la lampe à la fenêtre,

Je ne sais si je dois partir,

Ou le laisser venir,

 

Je mesure la distance implacable

Qui nous rendit impalpable

L’un à l’autre,

L’un pour l’autre.

Et pour quelle raison,

Oh, la raison !

 

A la très belle, à la très bonne, à la très chère,

Oh la Raison qui frise

La déraison…

 

L’étoile dans l’azur, la lampe à la fenêtre,

Je le fixe sans bouger,

Ne sachant alors plus même

S’il le faut encore, ne serait-ce qu’essayer…

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