L’étoile dans l’azur, la lampe à la fenêtre,
Je ne sais si je dois partir,
Ou le laisser venir,
Je mesure la distance implacable
Qui nous rendit impalpable
L’un à l’autre,
L’un pour l’autre.
Et pour quelle raison,
Oh, la raison !
A la très belle, à la très bonne, à la très chère,
Oh la Raison qui frise
La déraison…
L’étoile dans l’azur, la lampe à la fenêtre,
Je le fixe sans bouger,
Ne sachant alors plus même
S’il le faut encore, ne serait-ce qu’essayer…
On sent l’inquiétude qui flotte dans ces lignes.
une petite info : choisissez la rubrique “algoésies” et non “poèmes libres”
une bien belle poésie, en fait .
belle découverte dans les méandres d’Algomuse.