Les feuilles teintées d’or exsangues de leur sève,
Frémissant doucement dans les lourdes ténèbres,
Le long des branches mortes, en cortèges funèbres,
Allument de leurs feux la brume qui s’élève.
Le chêne dénudé est empli de tristesse,
Il craque sous le gel en gémissant sans cesse.
Le vent froid de l’hiver sans trêve le bouscule.
Ce roi de la forêt, ce géant que l’on aime,
Devient pour quelques mois une ombre de lui-même
Il attend, patiemment, la fin du crépuscule.
Sublime. Parfait. Émouvant…
merci
Un peu émue… c’est trop …
Très beau poème. Bravo !
Un grand merci.
Ce vers de la poésie belge m’a inspiré !
A vous lire ma chère Nefertiti
Ah oui, là je craque moi aussi ! Allez hop ! 5 cœurs pour Mélanie !
Très beau poème, Très belle photo.
Merci beaucoup
Magnifique
Magnifique ! Un petit bijou. 👍👍👍
Et pour reprendre vos mots. : rien qui dépasse.