Quand, ainsi qu’un poète, il descend sur la ville,
Et que des oriflammes, il nous montre le vil ;
Quand ainsi qu’un prophète, il s’épand dans nos têtes,
Et fouille dans notre âme pour en extraire la bête,
Comment lui résister ? Comment ne pas l’aimer ?
C’est cette belle Idée, qui un jour m’a fait croire,
Que tu pouvais m’aimer, du fond du désespoir.
Mais l’être est arrivé, et qui naissait de moi,
Et qui m’a bousculé, et m’a mis en émoi !
Comment lui résister ? Comment ne pas l’aimer ?
Un pur bijou !
Oui, oui, chère @melanie chaine, je suis d’accord (évidemment 😉 ; mais en même temps je me dis que le poème reste à écrire… Nous n’avons là qu’une mise en bouche… Mais le travail me décourage… (Je le garderai en mémoire quand même… Je sens qu’il y a une veine…)
En tout cas merci de ton compliment !
Voilà un bel hommage à la poésie !
Je viens de tomber sur ce texte que je trouve très beau. C’est vrai, Guillaume, je suis d’accord avec vous, on en voudrait savoir / lire plus.