Sentir la tristesse envahir ton corps fourbu
Auquel j’ai dit accepte à jamais mon soutien
En massant tendrement tes épaules tendues
Et glisser doucement vers tes petites mains

Garçon dont la souffrance jamais ne se dévoile
Une magnifique lueur éclairait tes grands yeux
Éperdus de bonheur montaient vers les étoiles
L’émotion ressentie frôla le merveilleux

Partout ta chère image est présente à mes yeux
L’envie de retenir ces chaleureux moments
Vouloir crier au monde que tu es un vrai dieu
Que tu deviendras même un Mozart de vingt ans !

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