Tout tourne à l’envers, cela n’est pas nouveau, du moins sur notre terre, qui détruit jusqu’au plus beau.
Pollutions, guerres, re-guerres et dix de guerre, conflits d’égos et de pouvoir, course au profit, tous dans le noir.
Et l’enfant naissant, encore et encore, sans même avoir pu donner son accord, sans pouvoir changer de décor.
Ce n’est donc plus aux hommes que je m’adresse, ils se sont perdus de vue, mais c’est à toi, à vous, Dieu(x) de tous les êtres, de tous les mondes, de tous les temps:
Était-ce donc cela votre dessein ou bien l’humain n’est-il qu’un assassin?
Je fais parfois silence en moi, pour t’écouter, mon Dieu, sans cesser de songer: t’arrive-t-il parfois de sangloter?
Comme l’a dit Woody Allen :
Si Dieu existe, j’espère qu’il a une bonne excuse.
Et comme le dit mon fils :
Au vu de notre monde, Dieu ne peut pas être à la fois bienveillant et tout puissant…
Alors?
Alors balayons déjà devant notre porte.
J’aime beaucoup le propos de votre texte 👍
Merci, cela me touche car j’avais aimé l’écrire et avais mis beaucoup de moi-même dans ces quelques lignes.