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Connais-tu, comme moi, la douleur savoureuse 

De devoir délaisser le bonheur quelque temps?

As-tu déjà goûté au délicieux plaisir de te dire malheureuse 

Juste provisoirement?

Tu mêles à la tristesse la sagesse de croire 

Qu’elle ne saura durer si tu sais la gérer

Et tu nourris tes pleurs de ce si bel espoir

Que ton mal pour un bien devient réalité.

Oppressée par le vide, tu souffres intérieurement 

Anesthésiée, tu feins de pouvoir vivre sans

Eprise et empressée,  tu retournes vers lui,

Heureuse et amoureuse, tu recouvres la vie.

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