Avec ta crinière élastique
je te couvrirai de fleurs
de trois grands coups de stylo bic
je me crèverais le cœur
Mon euphorie de fin Janvier
se calmera dès ce soir
Les pieds et le sourire gelé
La gueule dans l’entonnoir
Je fume ma dernière cigarette
ah je respire encore
la belle torpeur me guette
Elle me griffe le corps
J’aperçois tes yeux fantastiques
Au détour d’un instant
Ils m’ont fait voir Pise et Sepik
Ils me f’ront voir Satan
La vie file en mauvais coton
petite sœur de malheur
comme une araignée au plafond
Comme une drôle d’odeur
Vous êtes chanteuse ! rien d’étonnant, la musique est dans votre excellent poème
Un grand merci et bienvenue parmi nous
entenoire ? je ne connais pas ! … entonnoir !
entonnoir, oui tout à fait, merci!
C’est un vrai plaisir à lire, et j’avoue que je l’ai presque chantonnée.. très chouette !
Virtuose!