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Voyais-tu déjà fuir l’amour et ses douceurs
Alors qu’ineffable, le premier rayon d’or se levait
Sur les courbes de son corps que s’estompait
Sous ton regard embrumé de ces larmes
Que tu refusais de laisser s’échapper.
Hier déjà, j’ai compris que tu étais déjà partie
Dans cette ultime fusion de vos deux corps
Où l’intensité du plaisir s’est noyée dans tes pleurs
Déjà tu brillais sereine au front du ciel inaccessible
A mes mains, à mon corps, à mon désir, à ma vie.
Désormais, seule mon âme, mon cœur, mon esprit
Pourront t’aimer, t’appeler, te rêver, t’écouter,
Tu seras mon étoile aux splendides clartés
De notre amour que tu as choisi de tuer.

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