A cet esprit comblé d’angoisses
Enracinées par la paroisse ;
A cet esclavage maudit,
Vomissure de ses taudis ;

A cet amour qui m’a trahi
En me traînant dans le mensonge ;
A cette enfant qui me bénit
Me rappelant qu’elle fut mon songe,

A la vie, à la mort, je dis ! :
Mais… Cela est trop érudit…

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