Hommage à Francis Jammes (à la façon de Brassens ?)… @algo

Merci Sophie de votre aimable (et pertinent !) commentaire.

“Quelques vers… qui cachent probablement encore plus.” : en effet, j’ai “botté en touche”, c’est même “une queue de poisson”, n’est-ce pas ?

On peut dès lors penser que l’auteur, que je suis, cache quelque chose. Ou sinon “cache”, évite, refuse d’aborder ou se contente de suggérer…

Cependant, et très sincèrement, ce n’était pas mon intention. Regardez : la première strophe, c’est la mort (au sens où l’homme est corrompu par la société (qu’il a pourtant lui-même créée, et qu’il maitient…)… Pas très original, n’est-ce pas ?) ; la seconde, c’est la vie “humaine” (au sens où l’homme restera – probablement éternellement – un animal doué de sensibilité “irrationnelle” et éventuellement “associale”).

Et la “queue de poisson”, c’est l’Erudition. Je l’écris, c’est clair : je l’accuse ! (Enfin bon, ce n’est pas si clair que cela, j’en conviens…)

Un parfum de Wokisme ? Peut-être. Je ne sais pas encore. La question est difficile : le Wokisme ira-t-il jusqu’à questionner la doxa (“la pensée/culture dominante”) dans son ensemble ? Si oui, je suis déjà woke ! Et depuis longtemps. Sinon, c’est (à mes yeux), dans le meilleur des cas, une mode (intellectuelle).

En tout cas, merci de m’avoir ramené à ce petit “vomissement poétique” Sophie ! Du coup, comme vous voyez, je commence à l’analyser moi-même ! (sourire)