Il n’est de bonheur si doux
qu’on ne doive à l’amour.
Comme ce premier baiser,
sur la joue de son premier émoi.
Comme ces rires d’enfants,
que bousculent les vagues,
en cet endroit ou elles viennent mourir.
Comme l’aurore, elle danse,
sous une lumière de lune, porteuse,
d’insouciances aux saveurs féminines.
Aux aubépines en fleurs, tourbillonne,
tout son être, au blanc de ses pétales.
Elle, si belle au reflet de celui qu’elle aime.
Très bel hommage aux femmes. Merci pour ce poème tout en douceur.
Oh, merci, en effet, écrit trop vite et surtout sans relecture.
Cela m’arrive aussi. Vous écrivez directement “en-ligne”? Moi, je préfère le papier après avoir choisi le sujet, je trouve que l’on fait moins de faute mais j’en fais tout de même en saisissant mon texte sur l’ordinateur.
Nom, jamais en ligne directement, papier ou traitement de texte cela dépend, mais toujours dans une longueur de temps sans sablier, fût-il géant.
Très beau texte, très sensible mais, @Philippelettres, il y a deux coquilles dans le titre, c’est dommage (ah, les écrans, cela fatigue les yeux).