Les astres mêmes semblent suivre,

La valse folle du bateau ivre,

La terre entière est malmenée,

Par l’autre fou dégénéré. 

 

Le soleil baigne le salon,

traverse les murs de la maison.

éventrée par les projectiles

De l’autre fou toujours plus vile.

 

La lune est par dessus les toits,

Mais de la cave on ne la voit pas,

Nos nuits sont plus fortes que les jours

de l’autre fou qui reste sourd.

 

Traînée  d’étoiles sur nos chemins

Nous suivons « l’idéal commun ».

Cette « arme » suprême et imprévue 

que l’autre fou n’avait pas vu.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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