Que n’ai-je eu Fiat 500 dans cette époque folle
De mes tendres vingt-ans, pour m’italianiser,
Et découvrir Milan, finir… tétanisé ?!
Car je sais maintenant qu’arrive l’hyperbole

Savoir faire d’un vers tout un joli poème,
Reléguer aux enfers nostalgies épuisées,
Raconter aux Lumières ma vie démesurée !
Mais sans la Fiat première, le récit devient blême…

Il n’est rien dans la vie qui ne prenne couleurs
Dans l’émotion servie d’artifice de leurre.

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