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Je suis toujours petit pour elle, quoique déjà grand,
Parce que dans le cœur d’une mère, on ne devient jamais grand
On avance en solitaire sur le chemin de la vie
Refusant d’être tenu en main alors qu’on a bien grandi
Mais la vie peut être dure et cruelle
Trop souvent, ça, on ne l’a pas appris
Alors depuis que j’ai lâché sa main
Et que je suis parti sur mes chemins,
Je sombre, errant dans la forêt méchante
Habitée de ses âmes fatales et malfaisantes
Je n’étais pas préparé, j’étais le petit qu’elle a couvé.

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