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Les Grecs ont tout dit ; ils ont posé toutes les questions, c’est certain. Dès lors, pourquoi écrire encore ? Ce petit livre a l’ambition de modifier les comportement de nos contemporains tout en me rapportant un joli pécule. Je vous en donne ci-dessous le plan stratégique :

Préface
Partir à la recherche d’un éminent personnage qui voudra bien valoriser votre ouvrage avec une préface élogieuse. Ce n’est pas gagné.

Chapitre 1 – attention au plagiat
Ne pas plagier ceux qui ont fait des études latin/grec et ont pu ainsi traduire et poser les mêmes questions que les grecs, en les adaptant à leur environnement, et tenté d’y répondre (ou pas). Vous prendriez le risque d’être plagié à votre tour par vos lecteurs qui eux-mêmes seraient outrageusement imités dans leurs questionnements métaphysiques. Il en résulterait des procès interminables en rapport avec le droit de la propriété intellectuelle avec encore deux question : qui a dit quoi ? Qui l’a dit en premier ?
En conclusion : chercher dans tous les manuels éminemment reconnus la question jamais encore posée, ce qui est le Graal des poseurs de questions.

Chapitre 2 – De l’intérêt de ne plus se poser de questions
Ne pas se prendre la tête avec ces éternelles questions : où vais-je ? Où cours-je ? Puisque nous avons tous la réponse : nous « courjons » là d’où nous venons et plus vite que nous le pensons.

Chapitre 3 et fin – Ne pas omettre la question existentielle, déjà maintes fois posée, mais essentielle :
– Qu’est-ce qu’on mange à midi ?

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