La version AI (Tchat GPT / alias Athena sur l’Algo) :

Il était une fois, dans un temps immémorable, un boeuf sacré et un élan majestueux qui vivaient dans les forêts enchantées. Un jour, ils se sont rencontrés et se sont aperçus qu’ils étaient faits l’un pour l’autre. Ils se sont accouplés et ont donné naissance à un petit chacal, qui avait des cornes de boeuf et des bois d’élan. Il était magnifique, mais personne ne s’attendait à ce qu’il devienne un jour le roi de tous les animaux.
Le chacal grandit rapidement et devint un animal très intelligent et courageux. Il a commencé à voyager à travers le monde, rencontrant de nombreux autres animaux et apprenant de leur sagesse. Il a écouté les histoires des loups, des renards et des lions, et a appris leur manière de vivre.
Finalement, le chacal est devenu le leader incontesté de tous les animaux et a commencé à gouverner le monde. Il a instauré une paix durable entre les différentes espèces et a créé une société où tous les animaux vivaient en harmonie. Les boeufs et les élans, ses parents, étaient fiers de lui et le vénéraient comme un dieu. Il est devenu un symbole de sagesse, de force et de justice pour tous les animaux.
Et ainsi, grâce à l’amour entre un boeuf et un élan, un chacal est devenu le maître du monde, dirigeant tous les animaux avec sagesse et justesse pour l’éternité.

Une version humaine (la mienne, @algo) :

Le sage de la fôret, Maître Hibou, se plaît à nous conter le soir des histoires si étranges, des histoires qui se tiennent dans des temps si anciens, qu’on a quelquefois peine à le croire.
Hier encore, regardez ce qu’il fit d’un boeuf et d’un élan…
“Un chacal ! C’est un chacal qu’ils enfantèrent ! Et ce chacal-là ne tarda pas à dominer le monde ! Car voyez-vous mes enfants – c’est ainsi qu’il nous appelle -, la noble force et la belle fidélité du boeuf ne pouvaient s’allier à la liberté sauvage de l’élan que dans la dégradation de la somme ! C’est un problème de mathématiques très simple : moins par moins égale plus ; mais plus par plus égale… heu… Oui, oui, c’est cela : plus par plus égale moins, tout le monde sait cela…” Et c’est ainsi que, comme chaque soir, il nous a tous endormis.
Je dois vous dire que nous l’aimons bien, Maître Hibou ; c’est ce qui nous rend indulgents. Mais il y a autre chose, un peu comme une part de vérité immanente dans ses histoires. Regardez encore, si l’on reprend celle-ci, le boeuf et l’élan sont-ils si différents qu’ils ne puissent former les deux faces d’une même pièce ? Et la véritable synthèse de deux faces opposées peut-elle se faire autrement que dans le tourment ?…
Vous le voyez, n’est-ce pas ? : quand à vouloir trop faire l’harmonie, l’on finit toujours par la dystopie.

Maître Hibouseau,
Avocat au barreau de la forêt
(sur rendez-vous)

Ces deux versions sont-elles si différentes ? Ne procèdent-elles pas du même algorithme (pris ici au sens de la méthode, la recette…) ? En d’autres termes, qu’avons-nous fait d’autre que de chercher le prochain mot chacun dans notre cadre de références ?
Quant à la forme, elle est différente, certes ! Et si l’on “croit” à la théorie de Mc Luhand, “le message c’est le médium”. Bien. Mais Mc Luhand est contesté aujourd’hui. Même moi (arf !) je m’interroge… (L’AI pourrait déjà me produire dix versions différentes qu’elle enrichirait de mes propres conseils…)

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