De l’idéologie capitaliste
La traite négrière a changé de couleur,
Le noir n’est plus de mode, il nous faut… de l’ampleur !
Cantonner l’esclavage à cette humanité
Ne suffit plus à faire… productivité !
Alors c’est tous les pauvres du monde qu’il faut…
Faire payer ! Crever ? Non, non, non, loin s’en faut,
Car il faut consommer, car on doit perdurer…
Nous sommes Vérité, force Salubrité,
Et c’est notre système, à l’aune des défis,
Qui est le mieux… armé !, pour tracer l’avenir,
Sauver l’Humanité et le futur, pétrir.
Nous, les Capitalistes, connaissons les replis :
Quelques milliards de plus, ou de moins, et alors ?
Y compris d’êtres humains ? Pour la nouvelle aurore…
Oui, celui-là aussi! Et j’aime beaucoup, @Guillaume du Vabre ( @algo ), cette liberté de ponctuation (exclamative ou interrogative, guillemets et points de suspension) que vous prenez avec la versification. Je m’y retrouve totalement dans l’esprit. Cela donne un résultat contemporain, vivant, philosophique qui prouve que la poésie peut tout exprimer.
Merci @Sklaera de votre intelligence de ma “façon” de faire (d’écrire).
Merci aussi de votre sympathie et surtout : merci de votre empathie !
Vous donnez tout son sens à l’Algo. Que puis-je rêver d’autre ?
@Guillaume du Vabre ( @algo ), c’est le moins que je puisse pour vous remercier de ce bonheur d’écrire retrouvé depuis plus d’un an, je me surprends parfois moi-même. Avant l’AlgoMuse, sans plus d’ateliers d’écriture à Quimper, je tournais en rond, je m’essoufflais et, franchement, au quotidien, je pense que je ne devais pas être très commode à vivre (surtout pour un compagnon artiste-peintre…). Du plus loin qu’il me souvienne, dès que j’ai appris à écrire, j’ai écrit pour le plaisir, et lu, lu, lu (de la poésie avant tout). L’AlgoMuse m’offre le bonheur / luxe des deux.
Mon cher @Guillaume du Vabre ( @algo ) que je ne connais guère / point mais respecte beaucoup en tant que “patron” de l’AlgoMuse, je veux vous dire que l’empathie est le moteur de tout et que les tout-petits, avant d’être dévoyés par ce monde de fous ont une empathie innée. C’est cuit à l’âge adulte.