“Absconserie climatique”
Toi, tes nuages noirs, toi, tes haillons hideux,
Toi que le vif espoir a rendu lumineux,
Toi qui par la magie domine mon esprit,
Et mon corps et ma vie, est-ce toi qui me fuit !?
Comment vivre sans toi ? Tu prolonges mes membres,
Mon ego ma puissance, et ce n’est pas dans l’ambre
D’un tableau incertain que le peintre va taire
Cette fascination, qui n’est pas délétère.
Tu es mon véhicule, devances l’horizon,
Je suis ton matricule, je rentre en ta prison,
Et tous deux nous allons vers la gloire éphémère
D’une chose qui fut, sans comprendre l’amer
D’une vérité simple : la lumière est derrière.
On a tout inventé ; nous reste la première…
Après une quatrième lecture, je n’ai toujours rien compris… abscons ? vous avez dit : Abscons. C’est sûr ! tu n’aurais pas été pendu !😎
Besoin d’une explication de texte.
Je la ferai, l’explication de texte, promis. En même temps, un poème qu’on doit expliquer, est-ce encore un poème ?
Donc avant d’expliquer, je te donne une clé : le lire “mot à mot” dans le sens premier de chaque mot… (notamment, bien sûr, pour les tercets, les deux premiers quatrains ne posent pas problème, je pense…)
En tout cas merci de m’avoir lu et d’avoir questionné !
(Je répète : je répondrai…)
Amitiés.
Haro sur l’auto !
Je reste interloquée par la rapidité de votre production d’un sonnet sur l’image du
jour !
C’est cela : “haro sur l’auto !” Le “monstre sacré”…
C’est fou : on ne peut y toucher…
Juste imaginer de devoir s’en passer, vous fera enfermer !
Suis-je un homme, sans bagnole ?!…
Encore un superbe trio autour d’une image. J’aimerais bien vous rejoindre à nouveau mais là, l’inspiration manque autour de la proposition du jour même si je trouve l’oeuvre superbe et originale (je ne connaissais pas du tout cet artiste).
Je ne suis pas trop inquiet sur votre lecture de l’œuvre (du tableau). Mais, vous êtes handicapée car vous avez eu la nôtre… Il faut vous libérer.
Je ne suis pas trop inquiet non plus quant à votre capacité à vous libérer…
Allez ! Sklaera, au boulot !!
Bien chef, oui chef, peut-être chef… 😏 Pour l’heure, je réfléchis encore à l’œuvre, la nuit (plusieurs peut-être) porte(nt) conseil et inspiration.