Au plus profond de ma détresse
J’en viens parfois c’est pas souvent
À délier comme une tresse
Pour les éparpiller au vent
Bribes d’espoir
De désespoir…
Ce souffle en moi et qui m’oppresse
J’en viens parfois c’est pas souvent
À l’expirer avec l’ivresse
Déchirante d’un coup de vent
C’est dans le soir
Et dans le noir…
Au plus profond de ma paresse
Il arrive le plus souvent
Que tout espoir disparaisse
Dans les tourbillons fous du vent
Dans le miroir
Me laisse choir…
tendresse, tristesse, poésie douce universelle
Ça, c’est vraiment très beau.