C’était ainsi que depuis sa plus tendre enfance, il ne jurait que par la passion. C’était comme si la vie ne se conjuguait qu’à ce mode de l’infini… tif parfait.
L’âme, il s’en foutait ! Qu’aurait pu servir de la considérer quand elle ne pouvait, à ses yeux, n’être que collective ? Mais servir ainsi le dessein d’un autre que lui, alors non, très peu pour lui…
C’est la raison qu’il s’était faite de continuer sur le chemin. C’est la façon qu’il s’était donnée, de persévérer, jusqu’à demain.
Et l’étoile, bientôt “naine blanche”, de lui rendre raison et s’écraser sur lui. Le tuer. Le brûler.
Mais renaître de ses propres cendres était sa damnation ! Réenclencher les passions après les passions, sa condamnation ! Et s’élever ainsi, jusqu’à l’infini… tif du plus que parfait, son instinct, de survie.
Car il faut un mythe, pour faire une passion.