• 3 ans 
  • 1Minute de lecture env.
  • 219Lectures récentes
0
(0)

Une hutte dans la forêt tropicale. Un abri plutôt qu’une hutte. Un abri de branchages. Une prison verte, humide, malodorante, putride. 

Une solitude incompressible, un isolement de soi-même par le harcèlement permanent des sens. De tous les sens, qui finissent par perdre sens…

Un geôlier lui-même engeôlé dans un rôle à jouer. Une absurdité si absurde, une nudité si complète, un désespoir si total… 

Mon compagnon d’infortune, un pygmée, me prit la main, et moi, je repris espoir.

Moyenne obtenue : 0 / 10. Nombre de votes : 0

Soyez le-la premier-ère à exprimer votre ressenti !

Partager ?

1
0
L'auteur-trice aimerait avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x