Assis dans l’herbe au bord la rivière
Je regarde les astres s’installer pour la nuit
Elle a se pouvoir de faire briller la lumière
Le jour, lui, emporte les secrets qui fuient
Mais la nuit rend aux cieux leurs étoiles, leurs gloires
Elle est la seule et l’unique à posséder ce pouvoir
Alors je l’attends, je l’observe, je l’implore
Quand paumé, égaré, je suis une fois encore
La nuit partage ces secrets à qui sait l’écouter,
C’est au petit matin avant que l’aube se soit levée
Qu’elle m’a murmuré : Pleure afin de savoir !
Les larmes sont un don pour sortir du désespoir
J’ai osé laisser les larmes couler, couler, couler
Toutes ces larmes qu’on m’avait imposé de garder.
Bien jolie rêverie et bien douce poésie, ” Je regarde les astres s’installer pour la nuit “.
Merci Sophie.
Merci à vous pour votre fidélité à mes écrits.