C’est un vrai régal que je lorgne
Comme aux vermines la charogne
Je n’en peux plus, j’en veux encore !
Resservez-moi, je vous implore !
Remplissez mon verre de vin
Comme ce breuvage est divin !
– Il est quinze heures, il se fait tard !
– J’ai encore faim, je veux du lard
Et des desserts et du café
Ensuite, je m’en vais aller.
– Et bien adieu, Monsieur, bon vent,
Et restez chez vous très longtemps.
Tirez-vous ! et de quel fermier
Dites tant de bien s’il vous plaît
Celui qui vous offre à loisir
Le moindre de vos désir ?
Ici, je reçois mes amis
Je vous en prie, sortez d’ici !
Filez voir ce fermier aimable
Ne revenez plus à ma table.