Que je me souvienne
des amours anciennes
sous le faisceau de Pen Men.
*
Un premier baiser
les mains enlacées
la lande autour frémissait.
*
Et dans un sourire
vagues de désir
le cœur ne sait pas mentir.
*
Au souffle du vent
devenus amants
dans la tourmente du temps
*
Gerbes d’eau salée
noyant l’oreiller
son âme s’est envolée.
J’ai voté à la santé de J. Le groisillon auquel je rendais hommage par cet haïku-poème formel-informel. Je ne peux plus écrire, plus de joie, tout s’accumule.