Chaque jour qui passe, je prends mon mal en patience pour ne pas perdre le fil. Le fil conducteur vers une lumière, car on dit toujours que tu rencontres le bondieu au bout de cette fameuse lumière.

Mon seul et unique pédagogue n’est nul autre que mon psychologue, mais il me coupe toujours la parole, et je me sens déstabilisé et faible.

Seule ma clarinette ou ma guitare peut consoler mon être perdu dans cette vague de fumée noire qui essaie de m’engloutir toutes les nuits.

Mes nuits sont faites d’insomnie ou de cauchemars, car se réveiller en sueur froide n’est pas une belle balade.

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