Père de la démocratie
Né vers 495, avant notre ère, fils de Xanthippos et d’Agaristé,
Encensé par tes pairs tu prônes la guerre contre Sparte.
Désastres sanglants, permanents, interminables,
Le long des chariots où les leurs sont blottis,
Ils ne te pardonnent pas tes conflits
Perpétuels et vengeurs, toi le fin stratège.
Aspasie, ton épouse, te soutient dans ta quête pour la démocratie.
Mais les sournois ennemis te lient à leurs erreurs.
Et toi, Périclès, défenseur du peuple, meurt de la peste, discrédité.
Alors, d’énormes quinquets projetant leurs lueurs,
Brillent encore aux sommets de nos frontons pour honorer
La liberté, l’égalité et la fraternité.