J’ai toujours pensé que j’avais la poisse avec moi mais aujourd’hui, j’traîne surtout ma plus belle gueule de bois.

Mais qu’est-c’qui m’a pris d’aller m’bourrer la tronche au mauvais rouch’ dans c’bouge de blaireaux t’nu par des rats?

J’me souviens plus trop d’tout mais la pétasse qu’a décidé d’me brancher, j’risque pas d’l’oublier.

Elle en a bien profité pour s’faire rincer.

J’ai sacrément banqué à la fin d’la soirée et j’sens qu’avec ma meuf ça va chauffer.

À quat’ pattes, que c’est, que j’suis rentré et la porte d’la chambre en pleine poire j’me la suis carrément mangée, tellement rond qu’j’étais.

Ma meuf pionçait, comme d’hab’.

Pas graf’, d’t’façon, j’étais trop cuit pour lui coller mon matos dans la touffe.

Ouf!

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