L’image de Florence en moi s’était dressée
Ah non, il s’agit de mon sexe qui s’est redressé
En ravivant le plaisir de cette image de nous enlacés
Au rythme langoureux de la valse lointaine.
Bercés l’un et l’autre par nos « je t’aime »
Comment te dire combien je subis
Ces assauts à chaque pensée de ton corps
Ces garde-à-vous inopinés et indomptés
Cette part de moi qui ne m’obéit pas
Parce qu’elle t’est dévouée et soumise à la fois.
Comment te dire combien tu me manques
Que mon corps est désœuvré,
Que mon esprit est décharné,
Et mon cœur entièrement désarmé
Tout mon être te réclame,
Je te vois là où tu n’es pas,
Loin de moi puisque tu es là-bas,
Tu l’as choisi, tu m’as laissé
Mon corps, mon âme et moi,
Seul mon corps est encore capable
De se redresser en pensant à toi.
Ne reste d’elle, que des soubresauts éphémères.
Ne reste d’elle,qu’un papier jauni aux couleurs vagabondes qui s’estompent.
Ne reste d’elle, que mon désespoir
Merci, Sophie
Il fallait l’opération, celui-la!
Euhhhhh… Je dois être fatiguée. Je ne comprends pas (mdr).
Mince, je n’avais pas vu! C’est la faute au T9 de ma tablette… Argh!
🤪