Hier je suis allée au bistrot boire un verre,
Car il fait chaud sous ces climats tropicaux.
Accopagnée d’une amie assoiffée mais sincère,
Rien de mieux après une journée au boulot !
Ainsi vidant nos verres, nous refaisions le monde,
Et si, et si, oui mais, il faudrait tout refaire.
Reprendre depuis le début cette course vagabonde,
Surtout ne pas suivre les chemins qu’ils empruntèrent
Mais le ciel se couvrit, soudain ce fut la nuit.
Il est déjà trop tard le monde est reconduit !
Une belle évocation de l’amitié qui fait oublier toute notion de temps. Votre poème est rafraichissant! 🍻
Votre texte me fait penser à Hemingway, et à d’autres écrits de correspondants de guerre, sans doute l’atmosphère
oh la la j’en suis vraiment très très très loin, sauf du côté tropical c’est vrai ! 🙂