je me suis perdue, éperdue d’elle,
dans le dédale de ces dalles froides.
Abandonnée à sa cruelle absence.
Je désespère à mes espoirs gisants.
Ici, rien ne naît, rien ne vit, rien ne meurt,
si ce n’est, des souvenirs glissants vers l’oubli
N’y reste de moi, que le contour figé de mon âme.
Mais, aujourd’hui, je l’ai retrouvée, enfin
Aux battements de mes ailes,
éperdue d’elle, je grandis avec elle
Je m’étais perdue si près d’elle.
Au delà, ne subsiste que l’oubli.
Au delà, sont les tombes.
il avance le disant et oublie,
à l’alignement de ces pierres froides,
aux silences de ses nuits.
Waouh… J’adore. Une danse joyeuse jusqu’à la chute qui “tombe”.
réponse très tardive …
merci pour votre vision, Sophie