Il faut continuer ce début d’histoire :
“Six heures, Paris est encore endormi. Du haut de son immeuble, Victor contemple sa ville. Il se sent comme un roi qui regarde son royaume avec fierté. Il n’est pas encore l’heure d’aller travailler. Pourtant, il n’en peux plus d’être enfermé dans sa prison dorée. Il sort de son appartement en catimini, pour ne pas réveiller ses parents. Il emprunte le grand ascenseur. Il sort sous la lumière du soleil. Au loin, survient soudain un chant. Il est subjugué par la beauté et la douceur de la voix. Il s’approche. Une jeune fille accoudée au dessus de la balustrade qui fait face à la Seine, elle chante. Soudain, un craquement. Victor se crispe. La barrière s’effondre et la jolie chanteuse tombe en avant…
- Une autre contrainte...
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Pas de contrainte, c'est une suite !
- Une autre contrainte...
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Vous pouvez faire une fin en queue de poisson.
C’est avec plaisir que je poursuis l’histoire de Louise sans avoir envie de lui donner une fin mais en invitant d’autres Algomusien(nes) à venir la rejoindre