Sur ta chair le parfum rôde
Comme une envie qui me frôle
Un regard, un mot et on s’envole
Tu me vois dans cet amour frivole
Juste le désir de nos corps enlacés
De l’envie de nos esprits attisés.
Sur ta chair le parfum rôde
Ne reste qu’un souvenir amer
De ces jours où tu savais m’aimer
De ces nuits passées éveillés.
De ces paroles devenues silence
De ces attentes bien trop vivantes
Sur ta chair le parfum rôde
D’un amour qui nous a échappé
D’une complicité qui n’est jamais née
Dune jeunesse qui s’est égarée
Sur ma peau, juste mon parfum
Dans mon cœur, cet amour défunt
Que l’on pensait saisir, mais qui nous échappe, encore et encore…!
D’une certaine façon, le murmure de vos mots poésie
J’aime votre poème (surtout les deux derniers vers)
C’est beau!