Aux temps de solitude amère
des années de dure misère
dans la fière cité corsaire
surgit pourtant une lumière.
*
Il était peut-être clochard
mais ne buvait pas de pinard
je garde douce mémoire
de quand je croisai son regard.
*
Il quémandait de la monnaie
que je ne pouvais pas donner
alors il m’offrit l’amitié.
*
Le samedi après-midi
j’allais deviser avec lui
pour oublier tous nos soucis.
*
Repose en paix mon vieux Maurice
que s’efface ta cicatrice…
Bel hommage à Maurice ! Vraiment Bravo pour vos mots.
😘