Le vent sera mon dernier amant .Le dernier a me  troubler  , a me caresser .Ce jour  là il est  impétueux, tourbillone autour de mes cuisses  ,  me fait vaciller s’engoufre sous mes jupes. Je veux le sentir contre moi .Je me désabille hâtivement .retire ma robe , mon jupon , mon soutien gorge mes bas et jusqu’à ma gaine. Comme Isthar enleva  ses septs voiles au porte de l ‘ enfer .J’adore être nue soumise  aux èléments .J’ose exposer ce corps  mur, aux seins alourdis par les maternités.Je danse  sur l ‘herbe.  Puis vint la pluie  froide  et diluvienne. Je  m’allonge et  roule sur le sol boueux  De loin je ressemble sûrement a un étrange animal s’adonnant a  un mysterieux rituel 

Oui moi , mèmère Je m’ offre ainsi a la nature  . je suis si trempée 

que je ne sens pas d’abord mes larmes .La sonnerie du 

téléphone brisa ma transe . Je décrochait 

une voix  hurla ”  va t en donc toute seule au Diable” 

1
0
L'auteur-trice aimerait avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x