Le blé des champs, les corbeaux qui ricanent sourdement

Et les grands ciels qui font rêver d’éternité. 

L’eau du lac reflète la clarté des cieux

Piégé par un pécheur une truite dans les vagues divague

Elle s’agite, se tortille, se trémousse, tourne et retourne

Sa valse fini par payer et entre deux ficelles du filet 

Elle s’échappe et respire l’eau fraîche de la montagne heureuse

Me voilà libre et solitaire ! 

Elle part continuer sa vie le cœur guérit

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