Un pas devant un pas derrière
Libres ! Les vers…
Comme les éléphants, avant..
Un pas devant un pas derrière
Gros éléphant sous la verrière
Donne du vent à l’instrument
Que Dieu lui donna bien avant
Pour tisser dans la porcelaine
Son bas d’argent croque-mitaine
Un pas devant un pas derrière
Cet éléphant est un enfant
Qui à l’école Vielles Pérrières
Déjà bien était mécréant
Un pas devant un pas derrière
Chacun de nous sous la verrière
Donne du vent à l’instrument
Que la nature bien avant
Pour faire un homme lui donna
Et dont il ne fit que… fissa !
J’ai dû relire ce “non-sonnet” trois fois pour le savourer pleinement, habituée que j’étais à vos sonnets quotidiens, qui me convenaient bien (sur le contenu). L’image, j’adore (donc merci @melanie chaine?). Peut-être que 100 sonnets sur le climat seraient trop? D’autres formes? Une alternance de sonnets, de haïkus, d’Alexandrins, de textes libres que vous avez déjà écrit sur le sujet, @Guillaume du Vabre ( @algo )? Le livre n’est pas loin. Du papier dans les mains, svp!
Non, non, Sklaera, ne vous inquiétez pas : il y aura bien 100 sonnets pour le climat.
Maintenant, n’oubliez pas (ce que je vous ai déjà écrit) : ce ne sont que des brouillons. Le chemin sera long qui consistera à les reprendre (réécrire ?) un à un pour faire de chacun d’eux un “vrai” poème. C’est un travail de longue haleine et je ne veux pas m’inscrire dans un processus (“process” dit-on aujourd’hui…) de performance ; je ne fixe donc pas de “dead line”…
Alors, si vous êtes d’accord, soyons patients (et persévérants) ensemble sans devoir nous imposer moindre injonction.
Quant au papier, vous savez, il faudrait aussi commencer d’en faire l’ACV (Analyse du Cycle de Vie), non ? En tout cas pour moi, en regard de ce projet (de 100 sonnets pour le climat), je n’ai pas vraiment décidé… Entre “papier” et “numérique”, mon cœur balance.
Bien cordialement,
G.
Merci, G. (@Guillaume du Vabre ( @algo )) pour cette belle et intéressante réponse. Je suis toujours, moi-même, dans la même hésitation. C’est complexe… En ce qui vous concerne, je sais que ce ne sont que des “brouilons” (quoi que?) mais ils me réconfortent (dans l’esprit, veux-je dire).
brouillons, pardon, “patron”… Argh, le numérique et moi. Je tape à un doigt sur la tablette et fais des fautes alors que sur le clavier de l’ordinateur, je tape à huit doigts sans les regarder et sans faute(s). Plus d’AlgoMuse sur la tablette. Elle n’est pas faite pour cela. Et pour info: je n’ai pas de smartphone et n’en veux pas… 😉
Joli!