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Je sens encore sous ma main languissante,
Ton corps qui profite encore de mes caresses
J’ai découvert que tes hanches sont amoureuses
De mes mains qui le retiennent
Quand tes yeux brillent de mille feux
Et ton corps se laisse aller
Dans cette valse mélancolique
Et savoure ce langoureux vertige
Chaque grain de ta peau ambrée
Sont des trônes constellés de joyaux lumineux
Ce matin, je respire ton parfum
Tu es là, j’ignore que tu es déjà loin
Ce matin, je me suis réveillé de ce souvenir,
Pour me rappeler de cesser d’être ce rêveur
Que l’horreur de son logis réveille

Alors je me rappelle ton corps
Sous ma main ce matin-là était froid.

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