Au soir du grand orage je demande le scintillement d’une étoile.
Soulevé sous le vent crépitant et sauvage,
un tourment de gouttes de grisaille s’envole.
C’est une lame fiévreuse floconnante et profonde.
De cet océan remuant je retiens l’écume
et quelques larmes, caressantes.