Ces petits matins clairs où la lune se meurt,
Je savoure à l’envie des gouttes de bonheur
Que, bien caché, je dérobe au temps ; et les murs
« S’emplissent pour moi seul de suaves murmures »
Mélodie des soupirs en notes lumineuses,
Chanson de mes désirs et mélopée rieuse.
Promeneur égaré dans ce paradis clair,
J’effleure avec ferveur tes courbes familières.
Un doux soleil s’éveille et ses rayons caressent
L’ombre des deux amants, univers de tendresse ;
Des notes cristallines s’invitent à la ronde ;
Tendre ivresse des sens, immense, au loin du monde.
La symphonie éclate et la pensée délire,
Explosions de bonheur pour deux cœurs qui chavirent,
Ascension du sublime, intense volupté,
Extase à l’infini, éclatante beauté.
L’attente n’en est que meilleure. Magnifique éloge à l’amour.
Merci Maguy pour votre commentaire. (et je suppose : les 10 coeurs !).
à vous lire … bientôt ?
Whaoo ! Ton poème, ma chère amie, me rappelle combien l’érotisme est poésie. Ou combien d’ailleurs la poésie est érotique ! Il est sublime. Le lire est expérience de Vie.
La poésie est une grande indiscrète. Elle se mêle de tout.
La sensation d’être embarquée par l’intensité de chaque moment.