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De la poussière et de la misère vous vous êtes élevé.

Au grès d’un bal, vos regards se sont croisés.

Comme dans un conte, vous vous êtes adoré.

Les malheurs de la guerre, les brûlent au-dedans, rien ne luit au-dehors.

Toute votre vie sera rythmée par l’amertume d’une enfance souillée.

Mais malgré tout cela, vous avez élevé mon papa.

Bébé chéri comme un roi.

Et quand la maladie arriva, des années plus tard,

Papi, tu as été là.

Ton amour a transpercé le ciel,

Et devant l’éternel, tu as donné tous ton souffle pour elle.

La preuve d’un amour infini, sans limite et insensé.

Tout ton corps à lâché quand elle s’est envolée.

Preuve que ton électricité était puisée dans l’être aimé.

Aujourd’hui, je pense à toi,

Et je chante sur ta tombe, un hymne, déclarant :

“Chaque fois que je valserais, je penserais à mes premiers pas avec toi sur la piste du bal,

Car cette danse papi, je te la dois”

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