Viens
Viens dans le bois feuillu,
Plein d’ombres et de saveur,
Courons avec bonheur
Inventer l’inconnu.
Sous la fraîche ramure,
Sur un tapis moelleux,
Nous mêlerons, tous deux,
Nos soupirs, nos murmures.
La brise nous caresse
Et nous remplit d’ivresse,
Mon amour, n’ai pas peur.
Goûtons l’instant qui passe,
Permets que je t’embrasse,
Laissons passer les heures …
Beau texte sensuel et très atmosphérique, j’y étais, dans la lecture.
Un sonnet parfait ! À l’italienne, je crois ?
(Sans mentionner l’esprit…)
Brava Madam !
(Guillaume)
Courons ” inventer l’inconnu”, ce vers suffit à mon bonheur et à mon insouciance!
faut-il que je gomme tout le reste ? 😉🙄 …