Tu ressembles parfois à ces beaux horizons
À ce fruit défendu, à ces vaines chimères
Qui embrasent mon coeur hors de toute raison
Vibrant sur les couleurs de bonheurs éphémères
Tu ressembles parfois à ces belles promesses
Qui me libéreraient d’un douloureux présent
De vestiges passés abîmés de détresse
Qui pourraient apaiser le passage des ans
Je ressemble parfois à ces branches fouettées
Des tempêtes d’hiver, du cycle des saisons
À ces feuilles nouvelles brûlant d’intensité
Désirant s’envoler vers tes beaux horizons
voilà un bien bel ouvrage !
Merci, Mélanie !