A ujourd’hui c’est fini tu n’auras plus le choix !
A notre rendez-vous je l’emmène loin de là
A bord de mon bateau arrangé avec soin
A llons au fil de l’eau traçons notre chemin
B onheur insolent nous serons les plus heureux
B ord de mer vivifiant doux partages liquoreux
B aignades dans une eau turquoise douce apaisante
B ordée de galets blancs de plages fascinantes
C haleureux moments oublies tes âpres tourments
C harmante escapade ouverte loin du présent
Cher Coeur, Cher Trésor, Cher Joyau étincelant,
Tu n’as plus le choix : tu sais bien évidement
Comme l’écrivait ton prestigieux dirigeant
Que « La passion fournit les arguments incontestables
pour contourner les obstacles » *
*Antoine Riboud (1918-2002) Industriel, Ecrivain et Humaniste (1918- 2002)
Mon ressenti (Ça ne vaut que pour moi, n’est-ce pas ? Je vous livre amicalement, sans prétention de jugement “ce” que m’inspire votre texte…) : j’ai vu (et lu) plein d’idées qui VOUS appartiennent dans ce texte et qui mériteraient “meilleure” explication (développement) ; mais vous vous êtes contrainte dans l’acrostiche, et, ce faisant, vous êtes enfermée dans une réduction drastique.
(Ce qui [me] semble me donner raison ? → vous abandonnez l’acrostiche au 12ème vers ! C’est un peu comme si vous sentiez sa dérisoire inutilité en regard de la puissance des images que vous vouliez partager… Non ?…)
C’est intéressant pour moi. Vous me donnez à réfléchir sur les limites de la contrainte…
@Guillaume du Vabre ( @algo )
Je vous remercie de votre commentaire si judicieux et vous confirme
qu’effectivement, étant prise par le temps en ce moment, j’ai écourté
(à tors !) les lignes écrites (au détriment de mes pensées et mes ressentis profonds).
La contrainte m’a beaucoup frustrée et ne m’a pas autorisée à poursuivre cet acrostiche que je voulais beaucoup plus long , beaucoup plus riche, beaucoup plus précis comme j’aime les coucher sur le papier habituellement.
Je suis désolée de vous sentir déçu et je suis flattée que vous ayez pris le temps de reprendre mes erreurs afin que j’améliore mes textes.
Vous aurez prochainement le plaisir (enfin j’espère!) de parcourir un écrit que je publierai en « texte libre » si vous avez la gentillesse de m’indiquer comment le publier sur votre site (dans quel onglet déroulant)
Remerciements et bonne soirée
Les réflexions ci-dessous sont enrichissantes. J’ai parfois ce ressenti aussi lorsque je m’oblige à versifier un texte; les consignes ouvrent souvent un champ de possibles mais brident parfois la création.
Bonjour PotentilleJaune,Votre “A.B.C.” https://algomuse.fr/parfum-iode-de-victoirepotentillejaune/ répondait-il à mon algoself “Viens faire une balade” ?.. Comme à votre habitude, la nature, la mer dans ce poème, me donne l’envie de le lire et le relire. J’ai beaucoup aimé.
Bonjour @Gigi-22. En effet je répondais à votre algoself “viens faire une balade” merci de votre message et ravie de vous avoir touchée