Le blé des champs, les corbeaux qui ricanent sourdement
Et les grands ciels qui font rêver d’éternité.
L’eau du lac reflète la clarté des cieux
Piégé par un pécheur une truite dans les vagues divague
Elle s’agite, se tortille, se trémousse, tourne et retourne
Sa valse fini par payer et entre deux ficelles du filet
Elle s’échappe et respire l’eau fraîche de la montagne heureuse
Me voilà libre et solitaire !
Elle part continuer sa vie le cœur guérit
De jolies phrases dans ce court poème. Merci de nous le faire partager.
Très frais et joli!